« Une école nouvelle en fait de science », Mélusine XXVII, 2007, pp. 9-16.

L’histoire qu’on lira dans ce dossier commence par la rencontre au Val-de-Grâce, autour d’une table à dissection, de deux étudiants en médecine, poètes à leurs heures. Le surréalisme n’aurait pas pris l’orientation que nous lui connaissons, notamment dans ses rapports avec la science, si deux de ses principaux animateurs, Aragon et Breton, n’avaient pas eux-mêmes pratiqué la médecine en temps de guerre et, parce qu’ils avaient une complexion de poètes, n’en étaient ressortis avec d’intenses frustrations…

[Télécharger l’article d’Henri Béhar]

Voir :

Le sentiment de la nature chez les surréalistes – Persée (persee.fr)

Émilie Frémond, Le surréalisme au grand air, Classiques Garnier, t. I et II, 2023.

Prolongements :

Laurent Carrive : « La vie et la norme dans le mouvement surréaliste. Psychanalyse, science et poésie », Topique, 2012/2 (n° 119), pages 175 à 186 :

La vie et la norme dans le mouvement surréaliste. Psychanalyse, science et poésie | Cairn.info