3. COLLOQUES, SEMINAIRES, CONFERENCES

 

L’équipe « Théorie littéraire et sciences
humaines » de l’Université Paris VII (Responsables : Evelyne Grossman et
Julia Kristeva) a organisé, le 22 janvier 1999, une « Matinée autour
d’Antonin Artaud ». Deux communications ont été faites :

1. Les manuscrits des Cahiers de Rodez, par Delphine
Lelièvre (Toulouse II – le Mirail)

2. Antonin Artaud et la représentation de la mort, par
Jacob Rogozinski (Paris VIII, Collège International de Philosophie).

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Les 7, 8 et 9 février 2000, à la Maison des Universités
de Paris, s’est tenu un colloque organisé par le CRLMC (dirigé par Alain
Montandon, Université de Clermont-Frrand II) dans le cadre de l’équipe
« Ecritures poétiques contemporaines » : « Altérations,
créations dans la langue : les langages dépravés ». Trois interventions
ont porté sur Artaud :

1. Artaud le timbré : Mea culpa, par Camille Dumoulié

2. Antonin Artaud. Mysticisme et fécalité, par Olivier
Penot-Lacassagne

3. Les implications du titre L’arve et l’aume ou
comment Antonin Artaud transforme le legs de Lewis Carroll, par Jonathan
Pollock.

Les Actes de ce colloque ont été publiés aux Presses
Universitaires Blaise Pascal de Clermont-Ferrand (2001).

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Les 16, 17 et 18 mars 2000, le Centre de Recherches sur les
Modernités Littéraires de l’Université de Bordeaux III a organisé le
colloque : « Ecritures du ressassement ». Une communication sur Artaud
:

« Pour une rhétorique du ressassement dans Histoire
vécue d’artaud-Mômo« , par Guy Dureau.

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Gérard Peylet, directeur du LAPRIL, a organisé à la
Maison des Sciences Humaines de l’Université de Bordeaux III un colloque
international sur les « Mythes des Origines » (8 et 9 mars 2001). Une
communication concernait Antonin Artaud :

« Artaud. L’invention de l’origine », par Olivier
Penot-Lacassagne.

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Journée d’étude à la BNF, le 23 mars 2001 : Le livre
impossible

« Livres inachevés, livres avortés, livres hantés
par la Totalité, livres aux limites, livres lacunaires ou détruits, parfois
l’oeuvre est comme hors d’atteinte de l’oeuvre. La journée d’étude se
propose de décliner quelques figures de cet impossible à travers des oeuvres
majeures de la littérature moderne. »

L’une des cinq séances de travail fut consacré au
« livre ruiné » : « Artaud et Bataille ont tous deux affaire à
l’impensable. Tous deux revendiquent l’expérience de la perte. L’exprime une
esthétique de l’effondrement, livres-débâcles pour Artaud, écriture
de la faille pour Bataille. »

Communication de Florence de Mèredieu : « Antonin
Artaud : du livre ou du maillage de l’être ».

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A l’Université d’Angers, les 18 et 19 mai 2001, s’est tenu
sous la direction d’Arlette Bouloumié un colloque intitulé : « Du bon
usage des maladies ». Une communication sur Artaud :

« Antonin Artaud : la peste », par Olivier
Penot-Lacassagne