L’avant-garde comme relativité généralisée : la dramaturgie d'Alfred Jarry et le théâtre de notre temps
par Henri Béhar, le 25 janvier 1979
PASSAGE EN REVUES« L’avant-garde comme relativité généralisée : la dramaturgie d'Alfred Jarry et le théâtre de notre temps », Acta universitatis wratislaviensis, n° 462, 1979, pp. 45-57.
Ce colloque, organisé par nos collègues polonais dans un chalet universitaire à Karpacz, au pied des Monts dees Géants, fut une des plus mémorables expériences pour chacun des participants, appartenant les uns à l’Université de Wroclaw (l’ancienne Breslau, en Silésie) les autres à l’Université Paris III. J’étais alors en poste à l’Université d’Abidjan,mais j’appartenais toujours à m mon université d’origine. Nous étions bloqués pour quatre jours (25-28-IV-1977) dans ce chalet, entourés par la neige. Les discussions entre Anne Ubersfeld (Institut d’Etudes Théâtrals de Paris III) et nos hôtes, notamment Jazef Heistein et Alexandre Labuda, y furent très vives et fort instructives. La faim, le froid agrémentés de vodka nous rapprochèrent dans d’interminables conversations nocturnes. Les Actes de cette rencontre furent intégralement publiés dans la revue du département de français de Wroclaw deux ans après.
N’ayant pas la revue sous la main, je donne ici le texte de mon article reproduit dans Littéruptures, Lausanne, L’Age d’Homme, 1988, pp. 17-27.
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