MÉLUSINE

Deux poètes proches en surréalisme : Thérèse Plantier et Marie-Christine Brière

30 janvier 2021

Présentation par Françoise Armengaud et Françoise Py

Romancière, poète, essayiste, pamphlétaire, Thérèse Plantier (1911-1990) a été en même temps enseignante pour enfants « inadaptés » et propriétaire d’un camping en Provence tout en ayant épousé successivement quatre ou cinq maris. Elle a eu nombre d’amis et d’amies. Citons parmi d’autres : Simone de Beauvoir, Violette Leduc, André Breton, les poètes Anne Teyssiéras, Jocelyne Curtil, Marie-Christine Brière, ses éditeurs – eux-mêmes poètes – Guy Chambelland, Jean Breton, les journalistes Jean-Claude Arrougé, Carlo Jansiti. Qu’a-t-elle écrit ? Des romans : le plus connu Qouiza, Hubert Laporte, 1988. Des essais : Le Discours du mâle. Logos spermaticos, Anthropos, 1980. Provence, ma haine, Christian Pirot, 1983. Des recueils de poèmes : Chemins d’eau, Chambelland, 1963. C’est moi Diego, Saint-Germain-des-Prés, 1971. Jusqu’à ce que l’enfer gèle, Pierre-Jean Oswald, 1974. La Portentule, suivi de Mémoires inférieurs, Saint-Germain-des-Prés, 1978. Omerta. La Loi du silence, Saint-Germain-des-Prés, 1975. Semences du trépas, Le Pont de l’épée, 1986. Je ne regrette pas le père Ubu, Chambelland, 1988.

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