MÉLUSINE

Beau comme une théorie physiologique, Cahiers Lautréamont, n° 15-16

PASSAGE EN REVUES

« Beau comme une théorie physiologique », Cahiers Lautréamont, n° 15-16, 2e semestre 1990, pp. 51-55.

On sait depuis longtemps que le texte des Chants de Maldoror est un tissu d’emprunts, plus ou moins manipulés. Ce qui signifie qu’ils sont difficiles à découvrir, l’auteur s’étant bien gardé de les indiquer ou de nous donner la manière de les découvrir. En trouver un relève le plus souvent du hasard. C’est dire combien je fus surpris lorsque je parvins à cette trouvaille, dont je m’empressai de faire part à Noël Arnaud et François Caradec, pour être certain que nul ne l’avait mentionnée auparavant et surtout pour savoir où je serais le mieux lu à ce propos. Ce dernier m’assura que les Cahiers Lautréamont étaient le meilleur endroit pour une publication de cette nature. Ce que je fis, me contentant de faire part de l’emprunt. Sur quoi Jean-Pierre Lassalle s’empressa de vérifier la phrase dans le livre d’Helmoltz et de publier la page en question dans les mêmes Cahiers. C’est pourquoi je donne ici mon texte accompagné de la reproduction, comme je l’ai fait par la suite dans l’essai Lumières sur Maldoror.
Cette découverte en a suscité une autre, puisque Jean-Jacques Lefrère a noté que le travail de Helmoltz sur l’harmonie avait donné lieu à une publication partielle en revue avant celle de l’ouvrage mentionné dans mon article.

Télécharger l’article : Beau comme une théorie physiologique :

Télécharger le chapitre

Couverture du livre 'lumières sur maldoror', de Henri Béhar