Ainsi parlait Tzarathoustra, hommage à Georges Bloess
par Henri Béhar, le 4 avril 2015
PASSAGE EN REVUES« AINSI PARLAIT TZARATHOUSTRA », DANS : MÉTAMORPHOSES ALLEMANDES ET AVANT-GARDES AU XXE SIÈCLE. HOMMAGE À GEORGES BLOESS, SOUS LA DIRECTION DE FRANÇOISE PY, L’HARMATTAN, 2015, PP. 159-175.
À l’origine de cet article, il y a la communication que j’ai proposée à Bruno Pompili, organisateur d’un colloque à l’université de Bari (Italie) sur « Nietzsche et les avant-gardes » les 18 et 19 novembre 1999. Le fort mauvais calembour du titre m’avait été inspiré par un écho de Max Jacob, qui devait avoir ses raisons de rapprocher ainsi Tzara et Nietzsche. Je dois reconnaître que, ne parlant pas l’italien, je n’étais pas à l’aise devant un ensemble de philosophes s’exprimant en cette langue et peu ouverts à la poésie. (Voir : Bruno Pompili, Strabismi 2. Leggere e scrivere, par Lucrezia Mazzei)
Le texte est donc resté à l’état de tapuscrit, jusqu’au jour où je fus invité à la séance d’hommage à notre collègue germaniste et historien de l’art, Georges Bloess, pour son départ à la retraite. J’appréciais sa collaboration régulière à la revue Mélusine comme à nos rencontres collectives. Dans la libraire des éditions de L’Harmattan qui nous accueillait, j’improvisai le portrait ci-dessous et j’offris mon travail sur Tristan Tzara lecteur de Nietzsche, inédit pour le public francophone.
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